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LA MACHINE, L’HORLOGE ET LE PROLÉTAIRE

Rencontres, échanges, débats

Espace culture, campus cité scientifique, Villeneuve d'Ascq

Progrès techniques et rythmes du labeur dans les filatures au XIXe siècle

de Didier Terrier, professeur émérite à l’université polytechnique des Hauts-de-France
Répondant : Bernard Maitte

En juin 1847, évoquant la multiplication des machines dans l’industrie, le baron Dupin écrit : « la perfection lucrative serait de travailler toujours ».

D’ailleurs, les filatures prennent alors figure d’un laboratoire qui, déjà en place en Angleterre, fait passer les exigences des patrons à une autre échelle.

Aussi, comment les ouvriers et les ouvrières œuvrant dans les filatures de coton sont-ils, en retour, dépossédés de leur propre perception des temporalités pour devenir de simples auxiliaires de ce système mécanique ? L’intrication de la machine et de l’horloge ferait-elle de l’ouvrier un corps sans âme ?

En partenariat avec l’Association l’Esprit d’Archimède (Alea)

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